Ravi de vous rencontrer: Elyse Mitchell

Elyse Mitchell coordonne le Certificat en esprit entrepreneurial, un programme d’initiation à la réalité de l’entrepreneuriat offert à tous les membres de la communauté étudiante, peu importe leur programme et leur année d’études, qui souhaitent acquérir les bases nécessaires au développement de leurs compétences professionnelles ou de leurs idées d’entreprises, et apprendre à maîtriser des outils utiles pour se lancer en affaires.

Elyse est arrivée dans l’équipe par l’entremise du régime travail-études pendant sa dernière année de baccalauréat spécialisé en communication, grâce à une option de cheminement interdisciplinaire qui lui a fait découvrir l’entrepreneuriat. « Je suis tombée sur une offre d’emploi du Carrefour de l’entrepreneuriat et je me suis dit que ce serait un bel ajout à mon diplôme. Étant inscrite au régime coop, j’avais déjà accumulé pas mal d’expérience dans le domaine des communications, des relations publiques, etc. », explique-t-elle.

Ce qui ressort en premier lorsqu’on l’interroge sur son travail au Carrefour, c’est le plaisir de travailler avec ses collègues. « Leur motivation et leur optimisme sont contagieux, et tout le monde a le sens de l’humour; c’est un peu comme une deuxième famille. De plus, la grande diversité des cours proposés est très intéressante. On réfléchit beaucoup à la définition d’entrepreneuriat et à la portée du certificat, et on cherche constamment à enrichir l’offre d’activités, en restant toujours ouverts aux nouvelles possibilités d’apprentissage! »

J’ai aussi invité Elyse à me parler un peu d’elle, question d’apprendre à mieux la connaître.

En trois mots, comment vous décririez-vous?

Créative, déterminée et comique

Que vouliez-vous faire quand vous étiez plus jeune?

Je voulais être vétérinaire. Ça m’a suivie pendant une bonne partie de mon adolescence et ce n’est que quelque temps avant de commencer l’université que j’ai changé d’avis. Comme j’habitais au Québec, j’ai dû aller au cégep. C’est en suivant un programme d’arts libéraux que j’ai décidé de plutôt m’orienter vers la communication et les arts.

Un détail auquel on ne s’attendrait pas à votre sujet?

La plupart des gens sont surpris lorsqu’ils apprennent que je sais construire un quinzhee, une sorte de hutte de neige qui sert à s’abriter du froid en cas de nécessité, comme le ferait Bear Grylls. Au primaire, je faisais partie des Guides et j’ai appris à construire un abri, entre autres techniques de survie.

Qu’aimez-vous faire en dehors de votre travail?

J’aime passer du temps avec mes amis, et tout ce qui a trait à la cuisine en général. Savourer un bon repas en plein air avec une bonne bouteille de sangria, en profitant des rayons du soleil… J’aime aussi bricoler : la créativité n’est jamais bien loin!

Quel est votre groupe préféré? Ou votre chanson préférée?

Vienna, de Billy Joel. J’adore cette chanson; j’y reviens toujours. Elle parle de ralentir le rythme, de prendre son temps… c’est vraiment d’actualité! Comme j’ai tendance à me fixer sans cesse de nouveaux objectifs et à courir sans arrêt, j’ai besoin de chansons comme celle-là pour m’aider à me poser. La COVID nous offre une occasion de remise en question universelle, et ce type de chanson me semble tout à fait appropriée.

Quel conseil donneriez-vous à des entrepreneurs en herbe?

Je dirais qu’il est important de réaliser qu’on peut tous se lancer en affaire, peu importe d’où on vient. Tout le monde peut apprendre. Quand on a une passion ou une idée, la persévérance, c’est la clé! On doit aussi arriver à convaincre les autres en étant soi-même convaincu. Bien que ce soit à la portée de tous, il faut absolument s’investir à 100 %. Il faut faire preuve de détermination et être capable d’entrevoir jusqu’où peut nous mener notre passion.

* Cette vignette a été publiée dans le cadre de la série «Ravi de vous renconter», 2020.